Sept astuces pour augmenter votre capacité de fret chauffé cet hiver

La saison du chauffage débutant dans un mois à peine (les cargaisons commencent bien souvent à être chauffées la première semaine de novembre), bon nombre de gestionnaires des transports se demandent comment éviter une pénurie de camions chauffés cet hiver. Et ce, d’autant plus que la capacité de fret est déjà restreinte. Voici donc sept astuces qui vous aideront à gérer votre capacité de fret chauffé cet hiver.

Séparez le fret chauffé du fret non chauffé

Quatre-vingt-dix pourcent des marchandises de bon nombre des cargaisons supportent la congélation et seulement 10 % ont besoin d’être protégés du gel ou maintenus à certaine température. Une telle situation entraîne non seulement un coût supplémentaire pour l’expéditeur, mais également l’utilisation inutile d’une capacité de chauffage. En séparant la cargaison en deux chargements partiels, il est souvent possible de contrebalancer le coût du chargement supplémentaire par la réduction du coût de chauffage. Informez vos expéditeurs de première ligne de cette solution, si simple à mettre en œuvre.

Étudiez la possibilité d’utiliser le fret « non chauffé » pour les trajets courts

Si vous avez de la difficulté à trouver des camions chauffés pour un trajet court de moins d’une journée, vous pouvez étudier la possibilité d’utiliser un fret sans chauffage. En effet, bien que, ce faisant, vous courriez un léger risque, il faut savoir qu’en règle générale, les liquides en mouvement ne gèlent pas. Un peu à la manière d’une rivière. De plus, les liquides conservent une certaine chaleur résiduelle du chargement. Dans le cas de trajets courts, tant que vous pouvez vous arranger avec votre transporteur pour que la cargaison ne demeure pas dans le camion durant la nuit, vous n’aurez probablement pas de problème à envoyer le chargement sans chauffage. Faites ici preuve de jugement : ne prenez pas un tel risque avec des marchandises extrêmement sensibles au gel, cela n’en vaut pas la peine!

Étudiez la possibilité d’utiliser des tissus isolants

Les tissus isolants sont un bon moyen d’accroître la capacité de fret chauffé : il suffit d’envelopper les barils ou les réservoirs dans des couvertures isolantes. Même si la chaleur résiduelle du produit se dissipe peu à peu, vous pouvez, en faisant de bons calculs, souvent transporter sans problème des produits sensibles au gel sur une période de quelques jours. Les fabricants de tissus isolants devraient être en mesure de vous aider concernant les règles de base en matière de gabarit, de délai et de température. Le seul désavantage de cette méthode est que vous devrez renvoyer les couvertures. Il ne faudra donc  pas oublier de prendre en compte de ce coût supplémentaire. De plus, cette méthode pose tout de même certains risques. C’est pourquoi il est nécessaire de faire des calculs précis et d’inclure des sondes thermométriques et/ou des systèmes de contrôle de la température à l’intérieure de la cargaison.

Étudiez la possibilité d’utiliser un système de chauffage plutôt qu’une méthode de contrôle de la température

Dans le domaine des transports, le terme « chauffé » peut signifier qu’un chauffage au diesel portatif a été installé à l’arrière d’un fourgon sec, ou que le fret a été placé dans une unité de contrôle de la température. Ce détail peut sembler trivial, mais, lorsque la capacité est restreinte, vous devez établir clairement vos besoins. Si le produit transporté gèle à une température de zéro ou moins et que la température extérieure n’affiche pas un extrême aux alentours de -20C, alors, le chauffage portatif devrait être suffisant et vous aurez, alors, le choix entre bien plus de transporteurs équipés d’unités de chauffage. Cependant, si vous indiquez que votre chargement « doit être maintenu entre 5 et 10C », vous vous limitez alors à une unité de contrôle de la température. Si vous n’avez pas réellement besoin de respecter cette condition, ne la mentionnez pas, car, ce faisant, vous limitez vos possibilités.

Étudiez la possibilité d’un transport aller-retour

S’il vous arrive de devoir envoyer un chargement entre un point A et un point B (ou des points très proches), comme Chicago et Toronto, et que votre cargaison est chauffée à partir de Chicago, mais à pas à partir de Toronto, vous pouvez vous arranger avec votre transporteur pour qu’il prévoie une unité chauffée à l’aller, puis négocier avec lui une entente pour réserver et payer le voyage de retour à l’avance. Vos transporteurs apprécieront grandement cette façon de faire, car elle leur facilite la vie, et à vous aussi, du fait qu’elle vous débarrasse du souci d’organiser le transport du fret chauffé.

Réservez tôt!

Lorsque cela vous est possible, réservez tôt.  En effet, les transporteurs doivent constamment planifier l’envoi de leurs camions. La plupart du temps à partir d’inconnues. Si vous fournissez à vos transporteurs un maximum d’informations en réservant tôt, cela leur permet souvent de s’organiser pour avoir le bon équipement au bon moment.

Appelez XTL!

Ces dernières années, XTL a investi des sommes considérables dans l’acquisition de remorques équipées de systèmes de contrôle de la température, dont des remorques TEMPSOLUTION spécifiquement conçues pour contrôler et maintenir précisément la température de denrées très fragiles, tels que les produits pharmaceutiques et chimiques et les additifs alimentaires.

Seven “Hot” Tips to Increase Your Heated Freight Capacity this Winter

With heat season just over a month away (many people start heating freight the first week of November), many transportation managers are wondering how they can avoid a shortage of heated trucks this winter. Especially, since freight capacity is already tight.  Here are seven tips that will help you out this winter manager your heated freight capacity.

Separate Heated Freight from Non-Heated freight

Many shipments are loaded with 90% of the freight being freeze tolerant and only 10% of the shipment requiring freeze protection or temperature control.  Not only does this cost the shipper a premium but it uses up heated capacity where none is needed.  Often by splitting the shipment into two, the cost of the increased LTL will be offset by reduction in the heated premium.  This is easy to implement and your front-line shippers should be made aware of this option.

Consider “no heat” on short runs

If you’re struggling to find heated trucks for a short run of less than a day, you may consider shipping without heat.  While there is a slight risk involved in this practise, generally, liquids that are in motion will not freeze.  Just like a river.  Plus, the liquids will have some residual heat from the time of loading.  For short runs, as long as you can work with your carrier not to leave the freight on the truck over night, you’ll probably be OK to ship without heat.  Use your judgement here; extremely freeze sensitive material would not be worth the risk!

Consider Blanket Wraps

Blanket wraps are a great way to increase heated capacity.  The idea is to wrap the liquid drums or totes in an insulated blanket.  The residual heat in the product slowly dissipates over time.  However, with proper calculations you can often ship freeze sensitive product over a few days without issue.   The blanket manufacturers should be able to help you with grade, timing and temperature rules of thumb.  The only downside to this method is you’ll have to ship the blankets back, so include that in your cost benefit analysis.  Plus, there is some risk involved here.  You should do your calculations carefully and include temperature probes and/or monitoring in your shipment.

Consider “heated” vs. “Temperature Controlled”

In transportation, the term “heated” could mean a diesel powered portable heater in the back of a dry van, or it could mean putting the freight on a temperature controlled reefer unit.  This may seem trivial, but when capacity is tight, you should consider what you actually need.  If your product has a freeze temperature at zero or below, and the weather is not in a deep freeze of say -20C, then you should be OK with “heated”.  That will open up your capacity to a much wider range of carriers with portable heating units.  However, if you state “must maintain between 5-10C, then you are limiting yourself to a temperature controlled reefer unit.  This will limit your options, if you don’t actually need that specification.

Consider Round Trips

If you happen to have the opportunity to ship between A and B (or very close points) let’s say the points are Chicago and Toronto, and you have heated freight from Chicago and non-heated from Toronto, then you can work with your carrier to send out a heated unit and work out a deal to buy the backhaul in advance.  Your carriers will love this, it makes their life easier and you just made your life easier by covering that heated shipment.

Book Early

Book early when you can.  Carriers have to plan their truck dispatch constantly.  Much of the time based on unknowns.  If you can provide your carriers with as much information as possible by booking early, they can often plan to have the right equipment where you need it.

Call XTL Transport

XTL has made a significant investment in temperature controlled trailers over the last few years, including specially designed TEMPSOLUTION trailers that precisely monitor and maintain temperatures for very sensitive goods like pharmaceuticals, chemicals and food grade additives.  If you’re worried about heated capacity this winter, now’s the time to contact XTL for a review of your needs.

La gestion des livraisons à temps

Les livraisons à temps constituent un paramètre de rendement fondamental pour votre chaîne d’approvisionnement et vos fournisseurs de services de transport. Elles peuvent, cependant, se révéler difficiles à mesurer et à gérer. Voici quelques éléments clés qu’il convient de bien comprendre avant de définir un paramètre de mesure concernant les livraisons à temps.

« À temps » est une réalité qui n’existe pas

La première chose dont il faut être conscient est que « à temps » est une réalité qui n’existe pas.  Il s’agit, en fait, plus d’un concept que d’une réalité. Cela peut, à première vue, sembler choquant, mais, dans certaines situations, le concept de « à temps » se mesure difficilement.

  1. La cargaison devait être ramassée le 5 et livré le 7. Cependant, elle n’était pas prête le 5, mais le 6 et, par conséquent, a été livrée le 8. Est-ce que le transporteur était en retard?
  2. Même scénario, mais la cargaison a été ramassée à temps; elle a ensuite été bloquée à la douane pendant deux jours sans que cela soit la faute du transporteur. Est-ce que le transporteur était en retard?
  3. Même scénario, mais l’autoroute a été fermée en raison d’une tempête de neige et le transporteur n’a pas pu prendre la route. Le transporteur était-il en retard?
  4. Même scénario; cette fois, la cargaison a été ramassée à temps, mais, lorsque le transporteur est arrivé, le service de la réception avait fermé plus tôt que prévu en raison de la réunion hebdomadaire du personnel et la cargaison n’a pas pu être livrée avant le lendemain. Le transporteur était-il en retard?

Et je pourrais continuer ainsi indéfiniment. En effet, dans le domaine du transport, il est possible d’inventer 100 scénarios différents où le transporteur pourrait être jugé plus ou moins responsable du retard. Le véritable problème réside dans le fait de vouloir appliquer une mesure statique à quelque chose de dynamique : les dates et les heures de ramassage et de livraison changent constamment en raison de toutes sortes de facteurs. Vouloir classer les livraisons dans les catégories à temps/en retard est une simplification excessive d’un problème bien plus complexe.

Comment réellement gérer les livraisons « à temps »?

Il faut tout d’abord avoir une vue d’ensemble de la situation : les parties impliquées sont nombreuses et les causes de changements des délais le sont également. Dans une telle situation, la solution consiste à décider de ce qu’il convient de mesurer. L’une des meilleures façons de faire est de mesurer toutes les raisons de report d’un délai.

Commencez à mesurer les causes des reports

Par exemple :

  • Reporté par le client final
  • Retard du fournisseur
  • Panne de camion
  • Mauvais temps
  • Le destinataire n’a pas pu décharger le camion
  • L’expéditeur n’a pas pu charger le camion
  • Problème de trafic
  • Erreur d’enregistrement de commande

Un diagramme cause-effet ou un graphique de Pareto vous aideront à trouver le plus de raisons possibles.

Puis, catégorisez la responsabilité

La deuxième étape consiste à rassembler toutes les raisons et à les classer en fonction des parties responsables. Vous pouvez, par exemple, les répartir dans différentes catégories, telles que : expéditeur, transporteur, destinataire, autre. La météo et les inspections douanières aléatoires seraient, par exemple, incluses dans la catégorie « autre ».

Commencez à mesurer

Maintenant que vous avez un ordre de classement des reports, vous pouvez commencer à mesurer les raisons des reports dans le but final de diminuer au maximum les retards.

Discutez avec les parties concernées

Maintenant que vous avez une idée précise de ce qui se passe dans votre chaîne d’approvisionnement, vous pouvez avoir des discussions et des séances de résolution de problèmes réellement constructives avec vos fournisseurs, vos transporteurs et vos clients. Une diminution des retards s’accompagne généralement d’une plus grande harmonie d’ensemble, ce qui permet immanquablement de réduire les coûts et d’accroître la satisfaction des clients.

XTL peut vous aider!

Les employés de XTL sont des experts en logistique. Si vous essayez de diminuer les coûts liés à votre chaîne d’approvisionnement ou d’améliorer les services connexes, communiquez avec XTL aujourd’hui même! L’un des de nos experts en logistique en discutera volontiers avec vous, gratuitement!

How to Manage On-Time Deliveries

On-time deliveries are a key performance metric for your supply chain and transportation providers.  However, it can be really confusing to measure and manage.  Here are some key things you should understand before defining an on-time metric.

There’s no such thing as “on-time”

The first thing you have to know about “on-time” is there really is no such thing.  “On-time” is more of a concept than a reality.  This may shock you, but here are some examples that make “on-time” difficult to measure.

  1. Ordered to pick up on the 5th and deliver on the 7th.  However, it wasn’t ready to be picked up on the 5th, but was ready on the 6th and consequently got delivered on the 8th.  Was the carrier late?
  2. Same scenario, but order picked up on time, then got stuck in customs for 2 days through no fault of the carrier.  Was the carrier late?
  3. Same scenario, but then there was a blinding snow storm where the highway got shut down and the carrier could not travel.  Was the carrier late?
  4. Same scenario, but picked up on time, but when they arrived to deliver, the receiving department closed early for their weekly staff meeting and the freight couldn’t deliver till the next day.  Was the carrier late?

I could go on, but if you’ve spent any time in the transportation industry you could probably list 100 different scenarios that you would consider late, or not late, etc.  The crux of the problem is your trying to put a static measure on something that’s fluid.  Pick up and delivery times change constantly because of all kinds of factors.  Trying to pin down on-time/not-on-time is an oversimplification of a bigger problem.

How you really manage “on-time”

First, you have to recognize the bigger picture.  There are numerous parties involved and numerous causes for scheduling changes.  The key to managing this picture is deciding on what to measure.  One of the best ways is to just measure the all reasons for re-scheduling an order.

Start measuring re-schedules

For example:

  • End customer rescheduled
  • Not ready from supplier
  • Truck broke down
  • Bad weather
  • Consignee could not unload
  • Shipper could not load
  • Traffic
  • Order entry error

If you did a fishbone diagram or a pareto chart, it would help you in finding as many reasons as possible.

Now, categorize responsibility

The second step is to gather all the reasons and sort them by responsible party.  For example, you could put them into categories like: Shipper, carrier, consignee, Other.  Weather and random customs inspections would be an “other” category for example.

Start Measuring

Now that you have some order to classifying reschedules you can start measuring the reasons for re-schedules and the ultimate goal is to reduce the total number of reschedules.

Have discussions with the parties involved.

Now that you have a clear picture of what’s going on in your supply chain, you can have really productive discussions and problem solving sessions with you vendors, carriers and customers.  Less rescheduling normally means things go smoother all around, and when things go smoother, costs are reduced and customers are happier.

How XTL Can help

XTL’s staff are logistics experts.  If you’re trying to reduce costs or improve service in your supply chain, contact XTL today for a free discussion with one of our logistics experts.

7 astuces pour améliorer la sécurité du transport

La sécurité du transport est un important maillon de la chaîne d’approvisionnement parce qu’elle permet, d’une part, d’éviter une augmentation des coûts d’assurance et, d’autre part, que de la marchandise soit volée et se retrouve sur le marché noir. Voici donc 7 astuces simples pour vous aider à accroître la sécurité de vos transports.

1.  Faites affaires avec un transporteur reconnu

Voilà qui semble évident; pourtant, il est surprenant de constater qu’un grand nombre de compagnies font souvent affaires avec un nouveau transporteur dont la réputation n’est pas encore établie, uniquement pour épargner une centaine de dollars sur un chargement dont la valeur s’élève à des milliers de dollars. Il ne faut, certes, pas se méfier de toutes les compagnies qui ne comptent que un ou deux camions, mais il faut savoir que ces compagnies ne possèdent pas les systèmes nécessaires en ce qui a trait aux politiques d’embauchage, au suivi satellitaire, à l’enregistrement, etc. C’est pourquoi il est nécessaire de vous informer au sujet de votre transporteur, de lui demander des références et de vous assurer qu’il est en affaires depuis longtemps et possède un bon dossier de sécurité.

2.  Sécurisez vos chargements partiels… fermement!

Si votre chargement est partiel, ajoutez-y quelques couches supplémentaires et utilisez un film étirable de bonne qualité. Serrez bien les sangles. Cette mesure simple vous aidera à éviter de perdre une boîte ou un vol. Du moins, si un problème survient, vous aurez en mains les preuves nécessaires pour déposer une plainte solide!

3.  Remorques sans tracteur avec verrou de goupille

Comme elles ne sont pas à toute épreuve, mieux vaut les éviter. En effet, si un voleur a le choix entre deux remorques, l’une avec un verrou de goupille et l’autre sans, il n’est pas difficile de savoir laquelle des deux il choisira. Un bon verrou de goupille et un système assurant son utilisation adéquate permet d’assurer dans une grande mesure la sécurité des remorques sans tracteur.

4.  Évitez de laisser les remorques détachées sans surveillance

La majorité des vols se produisent lorsqu’une remorque détachée est laissée sans surveillance. Évitez autant que possible ce genre de situation. Si vous devez détacher votre remorque, assurez-vous de le faire dans une aire sécurisée par un agent de sécurité. Sinon, c’est une véritable invitation pour un voleur.

5.   Identifiez les transporteurs qui viennent chercher votre cargaison

Le nombre d’expéditeurs qui ne le font pas est absolument surprenant : ils expédient des cargaisons de milliers de dollars par camion uniquement parce qu’un chauffeur se présente chez eux en disant : « Bonjour, je viens chercher votre cargaison pour le Canada ». Il prend le chargement et s’en va. Quelle surprise lorsqu’un peu plus tard, le véritable chauffeur apparaît pour prendre la cargaison! Assurez-vous de contrôler l’identité de votre chauffeur, soit en lui demandant son nom, soit en vérifiant que le nom inscrit sur le camion, ou sur la pièce d’identité du chauffeur, correspond à celui de l’entreprise à laquelle vous avez fait appel.

6.  Faites appel à des transporteurs EXPRES/C-TPAT

Les transporteurs faisant partie d’un programme EXPRES ou C-TPAT ont déjà été contrôlés par des organismes gouvernementaux qui ont vérifié leur conformité à diverses normes de sécurité. En choisissant tout simplement l’un d’entre eux, vous accroîtrez la sécurité de votre cargaison.

7.  Scellez les chargements complets

Un câble n’empêchera, certes, personne de chercher à voler un chargement,  mails il découragera les trafiquages et les petits vols de quelques boîtes. Du moins, si vol il y a, vous aurez la preuve qu’il s’est produit durant le transport, ce qui accroîtra vos chance d’obtenir gain de cause pour votre plainte.

XTL : votre transporteur de choix

XTL est à la fois un transporteur EXPRES et C-TPAT. La sécurité des cargaisons nous tient à cœur. Alors, si la sécurité de votre chargement vous tient également à cœur, appelez-nous!

7 Tips to Improve Transportation Security

Transportation security is a big issue in the supply chain, not only to keep insurance cost low, but to prevent stolen merchandise from ending up in the black market.  Here are 7 easy tips to improve your transportation security.

 1.  Use a reputable carrier

This seems obvious, but it’s surprising how many companies will ship with a new and unknown carrier to save $100 on a shipment worth thousands of dollars.  Not that there is anything wrong with small 1-2 truck carriers, but they just don’t have the systems in place for things like:  hiring policies, satellite tracking and check ins, etc.  Check out your carriers, get references and make sure they have been in business for a long period of time with a good safety record.

2.  Wrap LTL… tight!

If you’re shipping LTL, use good quality stretch wrap and add a couple of extra layers.  Wrap it tight.  This simple measure can help reduce a missing box, or a box getting broken into.  At least if it happens, you have strong evidence for a claim!

3.  Pin-lock drop trailers

While this is not fool-proof, it is a deterrent.  If a thief has a choice of two trailers, one with a pin lock and one without, guess which one he’s going to choose.  A good quality pin lock and a system to ensure they are used goes a long way in securing dropped trailers.

4.  Avoid dropped trailers

Most theft occurs when trailers are dropped and left un-attended.  Try to avoid this situation as much as possible.  If you have to drop, make sure it’s in a secured yard that has a guard.  Otherwise, it’s just an invitation for a thief.

5.   Have a system to ID carriers picking up

It’s amazing how many shippers don’t implement this.  They load thousands of dollars worth of freight on a truck because a driver shows up and says, “I’m here for the load to Canada”.  He get’s loaded and he’s gone.  It’s a surprise later when the actual booked carrier shows up later for the shipment.  Make sure you ID your carrier either by the name on the truck and match it to the one booked, or get the driver’s ID and make sure he works for the company booked with.

6.  Use FAST/C-TPAT Carriers

Carriers that are part of the FAST or C-TPAT programs have already been verified by government bodies for their compliance to various security standards.  Simply choosing one will increase the level of security of your shipments.

7.  Seal full load shipments

A wire seal isn’t going to stop anyone looking to steal a shipment, but it does discourage tampering and a few missing boxes type of theft.  At least if theft happens, you’ll have evidence it happened during transport and increase your chances of a successful claim.

About XTL Transport

XTL is both a FAST and C-TPAT carrier.  We take load security very seriously.  If your concerned about the security of your shipments, give us a call to discuss how we can help you.

Comment bien travailler avec vos transporteurs : Horaire du département de réception/d’expédition

Cet enjeu est probablement l’un de ceux qui causent le plus de conflits entre les transporteurs et les employés des départements de distribution. Dans cet article, nous explorons les options et les conséquences de différentes philosophies en matière d’horaire de réception/d’expédition. Le fait que les transporteurs sont payés au mile est au cœur du problème, car, de leur côté, ils ne veulent pas attendre pour être chargés/déchargés, tandis que les employés des départements d’expédition, payés à l’heure, ne veulent pas attendre inlassablement que les camions arrivent, ou devoir faire des heures supplémentaires durant les petites périodes « occupées » de la journée.

Premier arrivé, premier servi

Certaines personnes sont très en faveur de cette méthode pour établir l’horaire des ramassages et des livraisons des camions et d’autres sont totalement contre. Cette pratique tend, en effet, à favoriser l’expéditeur et le récepteur au dépend du camionneur. En règle générale, elle fait que, comme le département d’expédition/de réception a des ressources limitées, les camions doivent y faire la queue pour être servis. Normal, non? Si vous arrivez le premier, vous êtes déchargé en premier. Cependant, comme les camionneurs sont payés au mile, et non pas à l’heure, une attente de deux à trois heures est, pour eux, impensable.

Cependant, ce système ne présente pas que des désavantages pour les transporteurs. En effet, comme le transporteur peut arriver « n’importe quand le mardi » avec une livraison, il bénéficie de souplesse lorsqu’il arrive, ce qui l’aide grandement en cas de retard imprévu suite à une météo défavorable ou à un problème de trafic.

Le meilleur des deux mondes? Un système basé sur la méthode du premier arrivé, premier servi assorti de ressources internes suffisantes du côté de l’expéditeur/du destinataire pour faire face aux périodes les plus achalandées. Cependant, ce scénario se révèle maintenant dispendieux pour l’expéditeur, dont les employés attendent 90 % du temps et travaillent le 10 % restant.

Horaire sur rendez-vous

Certains aiment cette solution, d’autres la déteste. À l’instar de l’ordre de passage en fonction du « premier arrivé, premier servi », cette méthode présente des avantages et des inconvénients. L’établissement de l’horaire sur rendez-vous est idéal pour les transporteurs s’ils arrivent à l’heure, entrent et sortent rapidement. Ce système est également avantageux pour les expéditeurs/destinataires, car il leur permet de planifier à l’avance la charge de travail du département ainsi que la main‑d’œuvre nécessaire. Il semblerait, donc, que cette façon de procéder soit efficace pour tout le monde. Et elle peut l’être! Cependant, lorsque l’incertitude se met de la partie, des problèmes se posent : si un transporteur se retrouve coincé dans le trafic ou est confronté à une panne ou à un retard en cours de route, ce qui peut se produire n’importe quand, alors ce système ne fonctionne plus. En effet, si un transporteur arrive à 10h30 à son rendez-vous de 10h, car il a été bloqué dans le trafic, personne ne sera là pour décharger son camion, car les employés seront déjà occupés à décharger le camion prévu à 10h30 qui, lui, sera arrivé à l’heure. Normal, non? De le faire attendre jusqu’à 16h, lorsque tous les autres camions prévus dans la journée auront été déchargés. Pas vraiment. Une livraison chez vous ne doit pas prendre la forme d’une punition! C’est pourquoi, le respect trop rigoureux d’un horaire fixé peut créer beaucoup de ressentiment chez les transporteurs qui font de leur mieux pour livrer votre cargaison. Mais, d’un autre côté, si vous tolérez toujours les livraisons en retard, vous serez systématiquement le dernier à être livré et vous passerez le restant de vos jours à composer avec des retards.

Un système hybride, le meilleur des deux mondes?

Il n’y a pas vraiment de solution « parfaite » à ce problème : chaque politique d’expédition/de réception a des conséquences en matière de coût aussi bien pour l’expéditeur que pour le transporteur. Chaque coût que le transporteur doit supporter finit immanquablement par se répercuter sur l’expéditeur sous la forme d’une augmentation de tarif. La solution optimale réside donc dans la coopération. Une coopération qui permette d’équilibrer les besoins et les ressources du transporteur et ceux de l’expéditeur.

Quelques bonnes idées :

  • Un système de rendez-vous, qui permette de composer avec d’éventuels retards.
  • Limiter les retards acceptables de façon à ne pas faire des retards une habitude.
  • Discuter avec les transporteurs pour découvrir ce qui fonctionne le mieux pour eux. La méthode appropriée dépend souvent du lieu, du moment et de la cargaison.
  • Les amendes peuvent être dissuasives, mais il faut les utiliser avec prudence. En effet, si les transporteurs vous trouvent trop rigides, ils ne voudront pas s’occuper de vos chargements, ou vous factureront un supplément pour compenser les amendes éventuelles.
  • L’allongement de l’horaire d’expédition/de réception peut permettre de diminuer la congestion.
  • Si vous le pouvez, transférez des employés d’autres départements en cas d’embouteillage de camions.

XTL Transport peut vous aider!

XTL Transport aide ses clients à résoudre leurs problèmes logistiques depuis près de 30 ans. Si vous cherchez un moyen de diminuer vos coûts, d’améliorer votre service ou, tout simplement, de vous faciliter la vie, alors XTL a une solution à vous proposer.

N’hésitez pas à communiquer avec nous pour une consultation gratuite!