Climate change affects everyone. The trucking industry bears the brunt of many extreme weather events in North America. It’s not only the postman who has the motto “rain, sleet or snow…” Shippers expect their transportation providers to deliver no matter the weather conditions. Climate change and extreme weather events are impacting the transportation industry in a drastic and negative way.

On nous demande souvent quelle quantité de chargement il est possible de transporter par camion. La réponse à cette question n’est pas vraiment simple, car elle dépend aussi bien du poids que du volume de la cargaison. Voici un tableau simple qui vous aidera à planifier vos prochaines cargaisons :
Dimensions (Lng X Lrg) |
Secteur industriel | 53 pi | 48 pi |
---|---|---|---|
48 po × 40 po | Articles d’épicerie, bien d’autres articles | 26 ou 30 tournée |
24 ou 28 tournée |
42 po × 42 po | Télécom., peinture | 30 | 26 |
48 po × 48 po | Fûts | 26 | 24 |
40 po × 48 po | Militaire, béton | 26 ou 30 tournée |
24 ou 26 tournée |
48 po × 42 po | Prod. chimiques, boissons | 27 ou 30 tournée |
25 ou 26 tournée |
40 po × 40 po | Prod. laitiers | 30 | 28 |
48 po × 45 po | Automobile | 26 ou 28 tournée |
24 |
44 po × 44 po | Fûts, prd. chimiques | 28 | 26 |
36 po × 36 po | Boissons | 34 | 32 |
48 po × 36 po | Boissons, bardeaux, papier | 26 ou 34 tournée |
24 ou 32 tournée |
35 po × 45,5 po | Contenant militaire ISO | 26 ou 36 tournée |
24 ou 32 tournée |
48 po × 20 po | Articles de détail | 65 ou 62 tournée |
60 ou 56 tournée |
Un mot concernant le repositionnement des palettes en cas de chargement maximal
Toutes les palettes ne sont pas des palettes à quatre entrées. Une palette à quatre entrées est une palette que l’on peut soulever par les quatre côtés à l’aide d’un chariot élévateur à fourches. Si le produit que vous expédiez est léger, il est parfois plus avantageux, si le poids de la cargaison est inférieur au poids maximal que le camion peut supporter, de tourner les palettes de côté et d’utiliser un volume plus important.
Un mot concernant le poids
Si vous expédiez un produit pesant et que le poids total de vos palettes est supérieur au poids que la remorque peut supporter, vous n’avez pas besoin de vous soucier de tourner les palettes. Vous devez, en revanche, veiller à bien répartir le poids de la cargaison. Par exemple, si vous avez 2 200 lbs par palette et 48 X 40 palettes, cela équivaut à 44 000 lbs (un chargement complet) divisé par 2 200 lbs, soit seulement 20 palettes. Vous ne pouvez pas en mettre davantage!
Un mot concernant le poids maximal qu’un camion peut transporter
Le calcul du poids maximal qu’un camion peut transporter est un peu plus compliqué que ce que vous pourriez penser, car les règlements ne limitent pas le poids du chargement, mais le poids total du véhicule, y compris celui des essieux. C’est pourquoi plus un véhicule est pesant (unités et semi remorques motorisées), plus sa cargaison doit être légère. Par exemple, les camions frigorifiques étant habituellement plus lourds, ils transportent des cargaisons moins imposantes. Par contre, certaines combinaisons camions/remorques légères peuvent transporter jusqu’à 45 000 lbs. En règle générale, il convient de prévoir qu’un camion peut transporter de 42 000 à 44 000 lbs. PETITE ASTUCE : informez vous au préalable auprès du transporteur si vous prévoyez une cargaison proche de la capacité maximale du véhicule. Le transporteur pourra alors vous donner quelques directives concernant la cargaison qu’il est possible de transporter sur l’équipement qu’il vous envoie.
Cette information utile vous est offerte par XTL Transport, votre spécialiste des cargaisons maximales et du transport avec contrôle de la température!

Clients often ask how much freight fits on a full truckload. The answer isn’t exactly simple. It depends both on weight and volume. Here’s a simple chart to help you plan your full truckloads.

La saison du chauffage débutant dans un mois à peine (les cargaisons commencent bien souvent à être chauffées la première semaine de novembre), bon nombre de gestionnaires des transports se demandent comment éviter une pénurie de camions chauffés cet hiver. Et ce, d’autant plus que la capacité de fret est déjà restreinte. Voici donc sept astuces qui vous aideront à gérer votre capacité de fret chauffé cet hiver.
Séparez le fret chauffé du fret non chauffé
Quatre-vingt-dix pourcent des marchandises de bon nombre des cargaisons supportent la congélation et seulement 10 % ont besoin d’être protégés du gel ou maintenus à certaine température. Une telle situation entraîne non seulement un coût supplémentaire pour l’expéditeur, mais également l’utilisation inutile d’une capacité de chauffage. En séparant la cargaison en deux chargements partiels, il est souvent possible de contrebalancer le coût du chargement supplémentaire par la réduction du coût de chauffage. Informez vos expéditeurs de première ligne de cette solution, si simple à mettre en œuvre.
Étudiez la possibilité d’utiliser le fret « non chauffé » pour les trajets courts
Si vous avez de la difficulté à trouver des camions chauffés pour un trajet court de moins d’une journée, vous pouvez étudier la possibilité d’utiliser un fret sans chauffage. En effet, bien que, ce faisant, vous courriez un léger risque, il faut savoir qu’en règle générale, les liquides en mouvement ne gèlent pas. Un peu à la manière d’une rivière. De plus, les liquides conservent une certaine chaleur résiduelle du chargement. Dans le cas de trajets courts, tant que vous pouvez vous arranger avec votre transporteur pour que la cargaison ne demeure pas dans le camion durant la nuit, vous n’aurez probablement pas de problème à envoyer le chargement sans chauffage. Faites ici preuve de jugement : ne prenez pas un tel risque avec des marchandises extrêmement sensibles au gel, cela n’en vaut pas la peine!
Étudiez la possibilité d’utiliser des tissus isolants
Les tissus isolants sont un bon moyen d’accroître la capacité de fret chauffé : il suffit d’envelopper les barils ou les réservoirs dans des couvertures isolantes. Même si la chaleur résiduelle du produit se dissipe peu à peu, vous pouvez, en faisant de bons calculs, souvent transporter sans problème des produits sensibles au gel sur une période de quelques jours. Les fabricants de tissus isolants devraient être en mesure de vous aider concernant les règles de base en matière de gabarit, de délai et de température. Le seul désavantage de cette méthode est que vous devrez renvoyer les couvertures. Il ne faudra donc pas oublier de prendre en compte de ce coût supplémentaire. De plus, cette méthode pose tout de même certains risques. C’est pourquoi il est nécessaire de faire des calculs précis et d’inclure des sondes thermométriques et/ou des systèmes de contrôle de la température à l’intérieure de la cargaison.
Étudiez la possibilité d’utiliser un système de chauffage plutôt qu’une méthode de contrôle de la température
Dans le domaine des transports, le terme « chauffé » peut signifier qu’un chauffage au diesel portatif a été installé à l’arrière d’un fourgon sec, ou que le fret a été placé dans une unité de contrôle de la température. Ce détail peut sembler trivial, mais, lorsque la capacité est restreinte, vous devez établir clairement vos besoins. Si le produit transporté gèle à une température de zéro ou moins et que la température extérieure n’affiche pas un extrême aux alentours de -20C, alors, le chauffage portatif devrait être suffisant et vous aurez, alors, le choix entre bien plus de transporteurs équipés d’unités de chauffage. Cependant, si vous indiquez que votre chargement « doit être maintenu entre 5 et 10C », vous vous limitez alors à une unité de contrôle de la température. Si vous n’avez pas réellement besoin de respecter cette condition, ne la mentionnez pas, car, ce faisant, vous limitez vos possibilités.
Étudiez la possibilité d’un transport aller-retour
S’il vous arrive de devoir envoyer un chargement entre un point A et un point B (ou des points très proches), comme Chicago et Toronto, et que votre cargaison est chauffée à partir de Chicago, mais à pas à partir de Toronto, vous pouvez vous arranger avec votre transporteur pour qu’il prévoie une unité chauffée à l’aller, puis négocier avec lui une entente pour réserver et payer le voyage de retour à l’avance. Vos transporteurs apprécieront grandement cette façon de faire, car elle leur facilite la vie, et à vous aussi, du fait qu’elle vous débarrasse du souci d’organiser le transport du fret chauffé.
Réservez tôt!
Lorsque cela vous est possible, réservez tôt. En effet, les transporteurs doivent constamment planifier l’envoi de leurs camions. La plupart du temps à partir d’inconnues. Si vous fournissez à vos transporteurs un maximum d’informations en réservant tôt, cela leur permet souvent de s’organiser pour avoir le bon équipement au bon moment.
Appelez XTL!
Ces dernières années, XTL a investi des sommes considérables dans l’acquisition de remorques équipées de systèmes de contrôle de la température, dont des remorques TEMPSOLUTION spécifiquement conçues pour contrôler et maintenir précisément la température de denrées très fragiles, tels que les produits pharmaceutiques et chimiques et les additifs alimentaires.

With heat season just over a month away (many people start heating freight the first week of November), many transportation managers are wondering how they can avoid a shortage of heated trucks this winter. Especially, since freight capacity is already tight. Here are seven tips that will help you out this winter manager your heated freight capacity.
Separate Heated Freight from Non-Heated freight
Many shipments are loaded with 90% of the freight being freeze tolerant and only 10% of the shipment requiring freeze protection or temperature control. Not only does this cost the shipper a premium but it uses up heated capacity where none is needed. Often by splitting the shipment into two, the cost of the increased LTL will be offset by reduction in the heated premium. This is easy to implement and your front-line shippers should be made aware of this option.
Consider “no heat” on short runs
If you’re struggling to find heated trucks for a short run of less than a day, you may consider shipping without heat. While there is a slight risk involved in this practise, generally, liquids that are in motion will not freeze. Just like a river. Plus, the liquids will have some residual heat from the time of loading. For short runs, as long as you can work with your carrier not to leave the freight on the truck over night, you’ll probably be OK to ship without heat. Use your judgement here; extremely freeze sensitive material would not be worth the risk!
Consider Blanket Wraps
Blanket wraps are a great way to increase heated capacity. The idea is to wrap the liquid drums or totes in an insulated blanket. The residual heat in the product slowly dissipates over time. However, with proper calculations you can often ship freeze sensitive product over a few days without issue. The blanket manufacturers should be able to help you with grade, timing and temperature rules of thumb. The only downside to this method is you’ll have to ship the blankets back, so include that in your cost benefit analysis. Plus, there is some risk involved here. You should do your calculations carefully and include temperature probes and/or monitoring in your shipment.
Consider “heated” vs. “Temperature Controlled”
In transportation, the term “heated” could mean a diesel powered portable heater in the back of a dry van, or it could mean putting the freight on a temperature controlled reefer unit. This may seem trivial, but when capacity is tight, you should consider what you actually need. If your product has a freeze temperature at zero or below, and the weather is not in a deep freeze of say -20C, then you should be OK with “heated”. That will open up your capacity to a much wider range of carriers with portable heating units. However, if you state “must maintain between 5-10C, then you are limiting yourself to a temperature controlled reefer unit. This will limit your options, if you don’t actually need that specification.
Consider Round Trips
If you happen to have the opportunity to ship between A and B (or very close points) let’s say the points are Chicago and Toronto, and you have heated freight from Chicago and non-heated from Toronto, then you can work with your carrier to send out a heated unit and work out a deal to buy the backhaul in advance. Your carriers will love this, it makes their life easier and you just made your life easier by covering that heated shipment.
Book Early
Book early when you can. Carriers have to plan their truck dispatch constantly. Much of the time based on unknowns. If you can provide your carriers with as much information as possible by booking early, they can often plan to have the right equipment where you need it.
Call XTL Transport
XTL has made a significant investment in temperature controlled trailers over the last few years, including specially designed TEMPSOLUTION trailers that precisely monitor and maintain temperatures for very sensitive goods like pharmaceuticals, chemicals and food grade additives. If you’re worried about heated capacity this winter, now’s the time to contact XTL for a review of your needs.

Les livraisons à temps constituent un paramètre de rendement fondamental pour votre chaîne d’approvisionnement et vos fournisseurs de services de transport. Elles peuvent, cependant, se révéler difficiles à mesurer et à gérer. Voici quelques éléments clés qu’il convient de bien comprendre avant de définir un paramètre de mesure concernant les livraisons à temps.
« À temps » est une réalité qui n’existe pas
La première chose dont il faut être conscient est que « à temps » est une réalité qui n’existe pas. Il s’agit, en fait, plus d’un concept que d’une réalité. Cela peut, à première vue, sembler choquant, mais, dans certaines situations, le concept de « à temps » se mesure difficilement.
- La cargaison devait être ramassée le 5 et livré le 7. Cependant, elle n’était pas prête le 5, mais le 6 et, par conséquent, a été livrée le 8. Est-ce que le transporteur était en retard?
- Même scénario, mais la cargaison a été ramassée à temps; elle a ensuite été bloquée à la douane pendant deux jours sans que cela soit la faute du transporteur. Est-ce que le transporteur était en retard?
- Même scénario, mais l’autoroute a été fermée en raison d’une tempête de neige et le transporteur n’a pas pu prendre la route. Le transporteur était-il en retard?
- Même scénario; cette fois, la cargaison a été ramassée à temps, mais, lorsque le transporteur est arrivé, le service de la réception avait fermé plus tôt que prévu en raison de la réunion hebdomadaire du personnel et la cargaison n’a pas pu être livrée avant le lendemain. Le transporteur était-il en retard?
Et je pourrais continuer ainsi indéfiniment. En effet, dans le domaine du transport, il est possible d’inventer 100 scénarios différents où le transporteur pourrait être jugé plus ou moins responsable du retard. Le véritable problème réside dans le fait de vouloir appliquer une mesure statique à quelque chose de dynamique : les dates et les heures de ramassage et de livraison changent constamment en raison de toutes sortes de facteurs. Vouloir classer les livraisons dans les catégories à temps/en retard est une simplification excessive d’un problème bien plus complexe.
Comment réellement gérer les livraisons « à temps »?
Il faut tout d’abord avoir une vue d’ensemble de la situation : les parties impliquées sont nombreuses et les causes de changements des délais le sont également. Dans une telle situation, la solution consiste à décider de ce qu’il convient de mesurer. L’une des meilleures façons de faire est de mesurer toutes les raisons de report d’un délai.
Commencez à mesurer les causes des reports
Par exemple :
- Reporté par le client final
- Retard du fournisseur
- Panne de camion
- Mauvais temps
- Le destinataire n’a pas pu décharger le camion
- L’expéditeur n’a pas pu charger le camion
- Problème de trafic
- Erreur d’enregistrement de commande
Un diagramme cause-effet ou un graphique de Pareto vous aideront à trouver le plus de raisons possibles.
Puis, catégorisez la responsabilité
La deuxième étape consiste à rassembler toutes les raisons et à les classer en fonction des parties responsables. Vous pouvez, par exemple, les répartir dans différentes catégories, telles que : expéditeur, transporteur, destinataire, autre. La météo et les inspections douanières aléatoires seraient, par exemple, incluses dans la catégorie « autre ».
Commencez à mesurer
Maintenant que vous avez un ordre de classement des reports, vous pouvez commencer à mesurer les raisons des reports dans le but final de diminuer au maximum les retards.
Discutez avec les parties concernées
Maintenant que vous avez une idée précise de ce qui se passe dans votre chaîne d’approvisionnement, vous pouvez avoir des discussions et des séances de résolution de problèmes réellement constructives avec vos fournisseurs, vos transporteurs et vos clients. Une diminution des retards s’accompagne généralement d’une plus grande harmonie d’ensemble, ce qui permet immanquablement de réduire les coûts et d’accroître la satisfaction des clients.
XTL peut vous aider!
Les employés de XTL sont des experts en logistique. Si vous essayez de diminuer les coûts liés à votre chaîne d’approvisionnement ou d’améliorer les services connexes, communiquez avec XTL aujourd’hui même! L’un des de nos experts en logistique en discutera volontiers avec vous, gratuitement!

On-time deliveries are a key performance metric for your supply chain and transportation providers. However, it can be really confusing to measure and manage. Here are some key things you should understand before defining an on-time metric.
There’s no such thing as “on-time”
The first thing you have to know about “on-time” is there really is no such thing. “On-time” is more of a concept than a reality. This may shock you, but here are some examples that make “on-time” difficult to measure.
- Ordered to pick up on the 5th and deliver on the 7th. However, it wasn’t ready to be picked up on the 5th, but was ready on the 6th and consequently got delivered on the 8th. Was the carrier late?
- Same scenario, but order picked up on time, then got stuck in customs for 2 days through no fault of the carrier. Was the carrier late?
- Same scenario, but then there was a blinding snow storm where the highway got shut down and the carrier could not travel. Was the carrier late?
- Same scenario, but picked up on time, but when they arrived to deliver, the receiving department closed early for their weekly staff meeting and the freight couldn’t deliver till the next day. Was the carrier late?
I could go on, but if you’ve spent any time in the transportation industry you could probably list 100 different scenarios that you would consider late, or not late, etc. The crux of the problem is your trying to put a static measure on something that’s fluid. Pick up and delivery times change constantly because of all kinds of factors. Trying to pin down on-time/not-on-time is an oversimplification of a bigger problem.
How you really manage “on-time”
First, you have to recognize the bigger picture. There are numerous parties involved and numerous causes for scheduling changes. The key to managing this picture is deciding on what to measure. One of the best ways is to just measure the all reasons for re-scheduling an order.
Start measuring re-schedules
For example:
- End customer rescheduled
- Not ready from supplier
- Truck broke down
- Bad weather
- Consignee could not unload
- Shipper could not load
- Traffic
- Order entry error
If you did a fishbone diagram or a pareto chart, it would help you in finding as many reasons as possible.
Now, categorize responsibility
The second step is to gather all the reasons and sort them by responsible party. For example, you could put them into categories like: Shipper, carrier, consignee, Other. Weather and random customs inspections would be an “other” category for example.
Start Measuring
Now that you have some order to classifying reschedules you can start measuring the reasons for re-schedules and the ultimate goal is to reduce the total number of reschedules.
Have discussions with the parties involved.
Now that you have a clear picture of what’s going on in your supply chain, you can have really productive discussions and problem solving sessions with you vendors, carriers and customers. Less rescheduling normally means things go smoother all around, and when things go smoother, costs are reduced and customers are happier.
How XTL Can help
XTL’s staff are logistics experts. If you’re trying to reduce costs or improve service in your supply chain, contact XTL today for a free discussion with one of our logistics experts.



La sécurité du transport est un important maillon de la chaîne d’approvisionnement parce qu’elle permet, d’une part, d’éviter une augmentation des coûts d’assurance et, d’autre part, que de la marchandise soit volée et se retrouve sur le marché noir. Voici donc 7 astuces simples pour vous aider à accroître la sécurité de vos transports.
1. Faites affaires avec un transporteur reconnu
Voilà qui semble évident; pourtant, il est surprenant de constater qu’un grand nombre de compagnies font souvent affaires avec un nouveau transporteur dont la réputation n’est pas encore établie, uniquement pour épargner une centaine de dollars sur un chargement dont la valeur s’élève à des milliers de dollars. Il ne faut, certes, pas se méfier de toutes les compagnies qui ne comptent que un ou deux camions, mais il faut savoir que ces compagnies ne possèdent pas les systèmes nécessaires en ce qui a trait aux politiques d’embauchage, au suivi satellitaire, à l’enregistrement, etc. C’est pourquoi il est nécessaire de vous informer au sujet de votre transporteur, de lui demander des références et de vous assurer qu’il est en affaires depuis longtemps et possède un bon dossier de sécurité.
2. Sécurisez vos chargements partiels… fermement!
Si votre chargement est partiel, ajoutez-y quelques couches supplémentaires et utilisez un film étirable de bonne qualité. Serrez bien les sangles. Cette mesure simple vous aidera à éviter de perdre une boîte ou un vol. Du moins, si un problème survient, vous aurez en mains les preuves nécessaires pour déposer une plainte solide!
3. Remorques sans tracteur avec verrou de goupille
Comme elles ne sont pas à toute épreuve, mieux vaut les éviter. En effet, si un voleur a le choix entre deux remorques, l’une avec un verrou de goupille et l’autre sans, il n’est pas difficile de savoir laquelle des deux il choisira. Un bon verrou de goupille et un système assurant son utilisation adéquate permet d’assurer dans une grande mesure la sécurité des remorques sans tracteur.
4. Évitez de laisser les remorques détachées sans surveillance
La majorité des vols se produisent lorsqu’une remorque détachée est laissée sans surveillance. Évitez autant que possible ce genre de situation. Si vous devez détacher votre remorque, assurez-vous de le faire dans une aire sécurisée par un agent de sécurité. Sinon, c’est une véritable invitation pour un voleur.
5. Identifiez les transporteurs qui viennent chercher votre cargaison
Le nombre d’expéditeurs qui ne le font pas est absolument surprenant : ils expédient des cargaisons de milliers de dollars par camion uniquement parce qu’un chauffeur se présente chez eux en disant : « Bonjour, je viens chercher votre cargaison pour le Canada ». Il prend le chargement et s’en va. Quelle surprise lorsqu’un peu plus tard, le véritable chauffeur apparaît pour prendre la cargaison! Assurez-vous de contrôler l’identité de votre chauffeur, soit en lui demandant son nom, soit en vérifiant que le nom inscrit sur le camion, ou sur la pièce d’identité du chauffeur, correspond à celui de l’entreprise à laquelle vous avez fait appel.
6. Faites appel à des transporteurs EXPRES/C-TPAT
Les transporteurs faisant partie d’un programme EXPRES ou C-TPAT ont déjà été contrôlés par des organismes gouvernementaux qui ont vérifié leur conformité à diverses normes de sécurité. En choisissant tout simplement l’un d’entre eux, vous accroîtrez la sécurité de votre cargaison.
7. Scellez les chargements complets
Un câble n’empêchera, certes, personne de chercher à voler un chargement, mails il découragera les trafiquages et les petits vols de quelques boîtes. Du moins, si vol il y a, vous aurez la preuve qu’il s’est produit durant le transport, ce qui accroîtra vos chance d’obtenir gain de cause pour votre plainte.
XTL : votre transporteur de choix
XTL est à la fois un transporteur EXPRES et C-TPAT. La sécurité des cargaisons nous tient à cœur. Alors, si la sécurité de votre chargement vous tient également à cœur, appelez-nous!